« On se retrouve dans une société mettant en avant une forme de culte de la performance, d’ambition permanente de plus consommer, de plus amasser, de plus développer sans se poser toutes les autres questions. Et finalement ça génère quoi ? De l’individualisme, de la fracture, ça génère des sentiments de division que nous vivons à tous les étages »
Dans votre politique, vous avez fait le choix de vous adresser au seul contribuable, à ce que les économistes nomment dans leur jargon « l’homo economicus ». Nous avons toujours préféré nous adresser aux citoyennes et aux citoyens, c’est à dire nous adresser aux personnes en prenant en compte toutes les facettes de leur vie.
Plan Jeunesse, réserves naturelles régionales, Observatoire de l’environnement, produits phytosanitaires – autant de débats lors de la session plénière du Conseil régional. L’occasion de constater combien l’esprit de la Breizh COP irrigue l’ensemble des politiques de la Région.
Voici un extrait du discours de politique générale prononcé par Gaëlle Le Stradic lors de la dernière session départementale.
Après 27 ans de mandat au service de Questembert, Paul Paboeuf a démissionné. Il nous livre ici quelques réflexions sur l’engagement public.
Cette rencontre nous a permis d’enrichir nos travaux respectifs dans l’opposition départementale, aussi de voir les différences qui existent dans les politiques conduites par les deux Départements.
Initiée en 2017, sous la présidence de Loïg Chesnais-Girard, la COP bretonne – inspirée des accords de Paris de 2015 sur le climat – vise à engager la Bretagne dans les transitions environnementales, climatiques, économiques, sociales et démocratiques. Une semaine lui a été entièrement dédiée début juin à Saint-Brieuc.
Agriculteur et conseiller départemental du canton de Bégard dans les Côtes d’Armor, Joël PHILIPPE, évoque avec nous la proposition qu’il a formulée avec ses collègues du groupe socialiste et républicain.
Extrait de l’intervention de Gaëlle Le Stradic lors de la dernière session départementale : » Si les collectivités ne doivent pas vivre dans le rouge, elles ne sont pas non plus obligées d’être lucratives ! «
Ces structures gagnent de plus en plus de compétences sans que leur mode d’élection corresponde à cette revalorisation. Nous entendons ainsi contribuer à répondre au déficit démocratique ressenti par nos concitoyens.
